Les mains moites, le cœur battant, les gestes saccadés, le pouls augmenté, et voici notre reporter en situation délicate !
Perché plus haut que la piscine, armé de son appareil photo, caparaçonné d’un harnais de varappe, le voici pendu dans le vide, ne devant son salut qu’a une mince corde. Nous avouerons, avoir vu cette opportunité se créer que grâce à des complices, dont le secret professionnel, me force à taire le nom ! Pourtant j’ai pu récupérer ces photos exclusives!
Gageons que bientôt le toit sera posé, l’investigation sera d’autant plus périlleuse !
Bien à vous ! Raoul Gros caillou !
Pour vous, pour la presse livre, pour l’Information !
Depuis un moment Raoul GrosCailloux se faisait discret. En effet, la sécurité du chantier s’interrogeait des salves de photos qui s’égrainaient depuis un bâtiment en face. Notre détective, donc, ouvrit sa malle de déguisements. Il endossa une tenue de manœuvre en maçonnerie, pour échapper à l’œil scrutateur des incorruptibles gardiens du chantier, et au péril de sa vie obtint encore des photos ! Mais la drame arriva, il fut pris.
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Interrogatoire musclé dans une cabane de chantier, Raoul ne put supporter les coups de soleil sur sa blanche peau du visage, dus aux lampes tournées vers lui : « vous allez parler ! ».
Plusieurs hypothèses : activiste anti chantier, chef de gang à l’affut de matériel à voler et même espion pour le compte d’une entreprise de construction concurrente. Heureusement, la direction de la gazette, réussit à convaincre la sécurité que Raoul était bien un journaliste et non un criminel ! et un mois, plus tard … il fut libéré !
Aussi, c’est avec plaisir que nous diffusons, avec un peu de retard les photos du chantier ! (en effet, les bobines ayant été confisquées : il fallait jouer de ruse pour les récupérer en les échangeant contre un documentaire sur les canards du parc de Choisy !
Après plusieurs semaines, notre investigateur, Raoul Groscaillou, émerge enfin de sa planque !
Embusqué sur le chantier, esquivant les agents de sécurité, négociant avec les habiles terrassiers (et oui ! pleins de trous et encore des trous). C’est avec plaisir et soulagement, que nous publions pour vous, les photos du montage des deux grues.
Il a fallu négocier, traiter, échanger ; ici une cigarette, ici soudoyer un type ! (et oui la corruption est un mal qui ronge même notre Belle cité !)
Fait marquant : les chiens très très intéressés par ce champ de trous ! Méfiez-vous on les a entendu comploter !
Dangereux, les grues en mode manège ! Mais à l’heure de développement durable, peut être avons-nous des grues éoliennes ! Non je déconne ce serait trop beau ! Disons plutôt qu’elles servent de girouettes à notre belle cité.
Régalez- vous !
Ah j’oubliais, si il y a des fautes : c’est fâcheux, mais corrigez les vous-même, çà vous entraînera pour vos devoirs de vacances !
Ralala ! beaucoup de bruit, de l'activité mais que se passe 'il ce vendredi? en tout cas voici les photos du jour. A remarquer : les troncs d'arbre sont protégés.
Et oui ! la piscine d'Alfortville commence à se construire. Après la pose par le maire René Rouquet d'un "parpain" sur un mur bati, puis aussitot détruit, les travaux commencent. Enfin pas tout à fait, il a fallut couper des arbres. .. DES PETIS TROUS , DES PETITS TROUS, RIEN que PETITS TROUS...
Ce blog vous montrera les photos et vidéos, au jour le jour, les commentaires seront autorisés, sans débordemment. En tout cas, pour donner l'angle,nous nous interrogerons sur notre ville. Alfortville est un ville à caractère sociale, peu d'entreprises pour payer la taxe d'habitation, et pourtant nous avons le centre culturel, le nouveau CREA, de nouveaux parcs, et que dire des routes dégueulasses ^^. Nous allons aussi faire un dossier photos sur les routes d'Alfortville.
Une piscine soit, mais pourquoi un centre aquatique? Beau projet certe, mais est-il en adéquation avec les Alfortvillais ? ... Osons nous poser les bonnes questions. En attendant, voici les premières photos. 18 mois de travaux? *ahahah*
Ca creuse avec un foret enorme, ça injecte du béton ... les fondations? ou ils cherchent de l'eau ? Et ils rebouchent.